1 Bentley 8 Litres – 1930
2 Auburn 851 Speedster – 1935
3 Mercedes 500 K – 1935
4 Duesenberg SSJ – 1936
5 Lancia Astura – 1938
Bentley 8 litres – 1930
Modèle fabriqué à 100 exemplaires.
Le même modèle que celui traité dans les années 80
(première période, encre Martin’s) – Gouache – 67 cm X 40 cm
(Vendue)
Retour
Auburn 851 Speedster – 1935
Huit cylindres en ligne – vitesse maximale 166 km/h
67 cm X 40 cm
(Vendue)
Retour
Mercedes 500 K – 1935
(Collection privée)
Sbarro construit un nombre important de petites séries de répliques qui lui apporte la notoriété dans le milieu automobile, avec entre autres la Mercedes-Benz 540K.
Gottlieb Daimler (originellement Däumler) (17 mars 1834, Schorndorf - 6 mars 1900, Stuttgart) est un ingénieur allemand en mécanique de génie.
Co-inventeur des moteurs à essence, pionnier de l'automobile, inventeur de la moto en 1885, et fondateur de la marque d'automobile Daimler Motoren Gesellschaft, rebaptisée Daimler-Benz AG, puis Mercedes-Benz après fusion avec Karl Benz en 1926. La marque anglaise Daimler Motor Company
est fondée en 1893 sur les bases des licences d'exploitation des brevets de Goettlieb Daimler et rachetées par Frederick Richard Simms.
En 1869 il obtient un emploi comme dessinateur industriel chez un constructeur de moteurs Allemand à Karlsruhe, entreprise dirigée par l'ingénieur inventeur du moteur à essence Nikolaus August Otto. Il fait par la suite embaucher son ami Wilhelm Maybach. Ils développent un moteur fonctionnant au gaz d'éclairage. Trois ans plus tard, en 1872, il devient directeur technique et s’associe avec Nikolaus August Otto pour fonder Deutz AG, constructeur de moteurs à gaz fixes.
1882 il quitte Deutz AG avec son ami Wilhelm Maybach pour ouvrir un atelier indépendant en 1884 à Cannstatt (devenu depuis un quartier de Stuttgart)
avec le montant du capital de ses parts de Deutz AG où ils améliorent le moteur à quatre temps de l'ingénieur inventeur français Alphonse Eugène Beau
de Rochas, notamment en mettant des aubes sur le volant moteur pour son refroidissement.
1885 ils construisent la première moto du monde, en bois, puis montent leur moteur avec succès sur un bateau, un traîneau, une voiture « à cheval » en 1886 (ce qui signifie l'invention du véhicule motorisée à quatre roues, de la voiture au sens moderne du terme donc), des tramways et des pompes
à incendie…
1887 Gottlieb Daimler dépose un brevet pour son moteur Daimler à combustion interne à grande vitesse qui marque une étape importante dans le développement des automobiles et des motos.
1889 ils mettent au point la Stahlradwagen, première voiture avec un moteur à combustion interne, carburateur à gicleur à essence (Moteur à deux cylindres en V) qu'ils présentent sur le stand de Panhard et Levassor de la galerie des « machines et des progrès techniques » de l'Exposition universelle de Paris de 1889.
Armand Peugeot qui présente sa Peugeot Type 1 à chaudière à vapeur Serpollet découvre ce moteur révolutionnaire fabriqué par Panhard et Levassor à Paris dès la fin de l'exposition. Il s'associe avec eux et construit le châssis d'un quadricycle, la Peugeot Type 2 suivi un an plus tard de la Peugeot Type 3 équipé de moteur Daimler qui marque le début de l'empire de l'automobile Peugeot de l'industrie automobile française et Européenne équipé de moteur Daimler.
En 1889 son épouse décède.
En 1890 Gottlieb Daimler fonde la société Daimler Motoren Gesellschaft dont il est actionnaire au tiers et devient constructeur indépendant. Il nomme
Wilhelm Maybach ingénieur en chef. Ce dernier démissionne l'année suivante en 1891 pour cause de contrat désavantageux suivi de Gottlieb Daimler
en 1893 suite à des désaccords avec ses associés.
Il épouse Lina Schwend avec qui il a deux enfants et fonde un nouveau laboratoire de recherche et de fabrication indépendant à l'hôtel Herrmann de Stuttgart avec Wilhelm Maybach où ils mettent au point avec succès, un moteur pour automobile à entraînement par courroie doté d'un carburateur à vaporisation.
En 1895, Daimler et Maybach réintègrent Daimler Motoren Gesellschaft après nouvel accord avec leurs associés pour fabriquer leur moteur en série.
En 1897 Daimler crée la Daimler Phoenix équipée d'un moteur avant puis présente en 1899 le premier moteur à quatre cylindres.
En 1899 il construit une voiture avec Wilhelm Maybach à moteur Daimler pour le brillant et richissime consul général de l'empire austro-hongrois et homme d'affaires, Emil Jellinek (également connu sous le surnom de monsieur Mercedes) qui intègre le conseil d'administration de Daimler et achète l'exclusivité
des droits de la marque et les brevets techniques Daimler Motoren Gesellschaft pour les revendre avec succès en Autriche-Hongrie, en France, en Belgique
et aux États-Unis dans ses concessions sous le nom de sa fille aînée Mercedes.
1900 Gottlieb Daimler décède le 6 mars à Stuttgart à l’âge de 66 ans. Son fils Paul Daimler lui succède jusqu'en 1922 avant d'être remplacé par le professeur Ferdinand Porsche, inventeur de la Volkswagen Coccinelle (avec Paul Daimler) puis fondateur de Porsche en 1948.
En 1907 Wilhelm Maybach démissionne après avoir été relégué de la direction au rang d'« inventeur en chef » et fonde avec succès la marque d'automobile Maybach Motorenbau : construction de moteurs de dirigeable pour le comte Ferdinand von Zeppelin et des voitures de luxe.
La crise économique des années 1920 conduit Emil Jellinek (Mr Mercedes), Daimler Motoren Gesellschaft et Karl Benz de « Benz & Cie » à mettre leurs intérêts en commun en 1924 et à fusionner en 1926 pour devenir Mercedes-Benz, constructeur industriel allemand de voitures haut de gamme et de camions.
En 1909 Mercedes dépose comme marque la célèbre étoile à trois pointes, pour représenter les trois voies que Gottlieb Daimler avait choisies pour ses moteurs : terre, mer et air, emblème de toutes ses voitures à partir de 1911.
Source : Wikipédia
Pendant les deux années qui suivirent la sortie de la 500K, on s'efforça de perfectionner le nouveau système de suspension indépendante. Un des prototypes teste entre 1934 et 1936 était équipé du système De-Dion à l'arrière, permettant d'éviter le phénomène indésirable de cambrure provoqué par l'essieu oscillant.
Mis au point, il allait être ajouté sur la chaîne de montage lorsque la direction annonça que seuls des essieux oscillants Mercedes équiperaient les voitures de la marque.
D'autre part, il fut décidé que l'on construirait une version encore plus grosse du huit -cylindres. Ainsi, les voitures pourraient atteindre la vitesse maximale de 171 km/h. La 540 K, équipée de ce moteur, fut présentée en 1936. C'était la voiture de série la plus rapide du monde.La direction était très dure à faible allure. Dès que l'on dépassait 64 km/h, en revanche, la voiture devenait beaucoup plus facile à conduire.
Il était pratiquement impossible de changer de vitesse tant que l'huile était froide. Ensuite, on pouvait pratiquement passer de 3e en 4e sans même se servir de l'embrayage, car la boîte était très souple. Jusqu'en 1942, année d'arrêt de sa production, de multiples modèles de 540 K furent proposées.
En 1937, une version légère de cette voiture atteignit les 180 km/h mais, pour la plupart, ces voitures avaient des carrosseries fort lourdes, identiques à celles des 500 K.
Deux empattements étaient utilisés. Le court était réservé aux coupés, le long aux berlines. Le premier apparut dès 1938. L'année suivante sortit un moteur encore plus gros de 5 800 cm3. Entre 1938 et 1942 furent construites en petit nombre des 600 K, équipées de carrosseries identiques, mais avec un V12 de 6 020 cm3, développant une puissance maximale de 240 ch, lorsque le compresseur se mettait en fonction.
Si leurs performances étaient semblables à ceux des 540 K, ces douze cylindres étaient encore plus souples que les huit-cylindres. Les 600 K avaient des boîtes à 5 rapports entièrement synchronisées, identiques à celles qui équipèrent les Grosser Mercedes à partir de 1937.
En fait, les 600 K V12 ressemblaient étrangement aux Typ 770 qui étaient quand même un peu plus imposantes. Notons que les Grosser Mercedes Typ 770 furent vers la fin dotées de la suspension AR testée sur la 540 K.
De même, on équipa ces derniers modèles du nouveau châssis tubulaire, ce qui permit de faire du coupé une voiture beaucoup plus légère.
Depuis 1945, une seule 540 K avec un moteur de 5 800 cm3 a été proposée aux enchères et les 540 K normales atteignent déjà des prix record.
Source: planetemercedes
Retour
Duesenberg SSJ – 1936
Avec son encadrement en aluminium aéronautique. Ce modèle était la propriété de Gary Cooper. Huit cylindres en ligne – 400 ch – Vitesse maximale 220 km/h
(Collection privée)
Seuls deux Duesenberg SSJ 1936 Speedsters ont été construits:
une pour Clark Gable, l’autre pour Gary Cooper. Conduire un empattement de 125 pouces,
17-12 pouces de moins que d’un Duesie standard, les Porteurs SSJ arboré un corps ouvert roadster léger produit par Central Manufacturing
Company, une filiale Auburn à Connersville, Indiana.
(Source: http://auto.howstuffworks.com/1936-Duesenberg-SSJ-Speedster.htm)
Encadrement que j'ai imaginé et dont le plan a été réalisé par M. René Caullet (mon beau-père) et usiné par Jean-Pierre Caullet (mon beau-frère).
Cet aluminium est à l'identique de celui que l'on trouve sur les panneaux de bout d'aile des Mirages 2000.
Poignée apparente pour le transport mais elle coulisse pour disparaître de la vue une fois la gouache fixée au mur.
La poignée (utile pour le transport) coulisse et s'efface derrière le panneau de bois. A l'arrière une plaque permet d'ajuster la fixation de l'encadrement contre le mur; il faut dire que l'ensemble fait un certain poids.
Retour
Lancia Astura – 1938
Cabriolet 4 places, huit cylindres en V
Vitesse maximale 132 km/h / modèle signé: Pininfarina
(Collection privée)
La marque fondée par Vicenzo Lancia en 1907 a toujours fait preuve d’un esprit d’innovation et d’originalité. Ainsi, l’ASTURA, modèle haut de gamme, fut doté d’un moteur V8 très particulier avec ses deux bancs de cylindres ouverts à seulement 17°30.
Son long châssis inspira de nombreux carrossiers italiens. Celui-ci fut habillé en cabriolet par le tout jeune turinois Giovanni Battista Farina, surnommé Pinin.
Raffinement, pour rendre la ligne de la voiture encore plus fluide lorsqu’il n’y a qu’un ou deux passagers, le dossier de la banquette arrière bascule pour refermer la carrosserie.
source: flickriver
Lancia. (lance, en italien) : l'arme utilisée par les chevaliers au Moyen Âge. Le nom parfait pour une marque dont le cheval de bataille a toujours été l'élégance et les défis technologiques. Mais Lancia est aussi le nom d'une personne, Vincenzo Lancia : le pionnier et rêveur de voitures, le conducteur, l'inventeur, l'entrepreneur.
Vincenzo Lancia est né à Fobello, dans le Val Sesia, le 24 août 1881, dans les montagnes entre le Piémont et la Suisse. Son père, Giuseppe Lancia, a fait fortune
dans l'industrie agro-alimentaire. La famille a donc vécu dans le confort de la classe moyenne savoyarde de la Belle Époque, prévoyant pour le jeune Vincenzo un avenir d'avocat.
Chaque automne, les Lancia quittaient leur villa de montagne et se rendaient à leur résidence dans la ville de Turin, au n°9 Corso Vittorio Emanuele.
La cour de cet élégant immeuble du 19ème siècle abritait un atelier pour les vélos et les petites voitures : la « Fabbrica di Velocipedi e Vetture Automobili Giovanni Ceirano » (La fabrique de vélos et de véhicules automobiles Giovanni Ceirano).
C'est dans cet atelier, dans la cour intérieure de sa maison, que la vie de Vincenzo Lancia prit un tournant. Tout comme l'histoire de l'automobile.
Retour